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Energies renouvelables citoyennes : Les propositions de Barbara Pompili pour les soutenir
Les énergies renouvelables représentaient 19,1% de la consommation totale d’énergie en 2020 et devront atteindre 33% du mix énergétique total d’ici 2030. Les projets citoyens d’énergies renouvelables ont toute leur part dans ce développement. Les citoyens et les acteurs locaux sont les clés de la transition énergétique. L’intérêt est double : favoriser l’acceptabilité des projets …
Les énergies renouvelables représentaient 19,1% de la consommation totale d’énergie en 2020 et devront atteindre 33% du mix énergétique total d’ici 2030. Les projets citoyens d’énergies renouvelables ont toute leur part dans ce développement.
Les citoyens et les acteurs locaux sont les clés de la transition énergétique. L’intérêt est double : favoriser l’acceptabilité des projets mais aussi les rendre plus adaptés aux besoins des citoyens. En 2021, 256 projets d’EnR à gouvernance locale sont déjà lancés. Sur la base des réflexions du groupe de travail sur le sujet, Barbara Pompili a fait plusieurs annonces :
- Le développement de 1 000 nouveaux projets à gouvernance locale qui associent collectivités et citoyens à horizon 2028, objectif qui sera inscrit dans la prochaine PPE et en phase avec la proposition de la Convention citoyenne pour le climat, qui avait fixé le cap d’une communauté d’énergie renouvelable par intercommunalité (EPCI)
- Le renforcement de l’accompagnement dans les territoires grâce à une augmentation de 50% des effectifs du réseau de conseillers de l’ADEME
- Le lancement d’une campagne de communication nationale pour sensibiliser le grand public aux énergies renouvelables citoyennes
- Augmenter de 50% le nombre de conseillers pour les projets à gouvernance locale en Région
- Créer un observatoire des projets d’énergie renouvelable à gouvernance locale
Pour retrouver l’ensemble des annonces cliquez ici.
Désertification médicale : les incitations financières seules ne suffisent pas pour remédier aux manques d’installations
La direction de la recherche, des études, de l’évaluation, et des statistiques (DREES) du ministère de la Santé a publié le 9 décembre une étude intitulée « Remédier aux pénuries de médecins dans certaines zones géographiques » qui s’intéresse notamment à l’efficacité des mécanismes d’incitations financières à l’installation pour les médecins. Les médecins prennent en compte une …
La direction de la recherche, des études, de l’évaluation, et des statistiques (DREES) du ministère de la Santé a publié le 9 décembre une étude intitulée « Remédier aux pénuries de médecins dans certaines zones géographiques » qui s’intéresse notamment à l’efficacité des mécanismes d’incitations financières à l’installation pour les médecins.
Les médecins prennent en compte une variété de facteurs pour choisir leur lieu d’installation
En étudiant les expériences menées dans différents pays, notamment les Etats-Unis, la conclusion principale est que les incitations financières ne peuvent permettre seules de résoudre le problème de la désertification médicale. Ainsi, il est nécessaire d’ « agir sur l’ensemble des conditions d’exercice ».
Les services du ministère de la Santé soulignent en effet que les médecins sont attentifs à « d’autres aspects non pécuniaires de l’exercice professionnel » comme la qualité du cadre de vie. Pour renforcer l’attractivité des territoires sous dotés en professionnels de santé cette publication identifie donc plusieurs axes à renforcer.
Des mesures complémentaires sont à mobiliser pour lutter efficacement contre la désertification médicale
Sur la formation initiale, les comparaisons internationales montrent qu’encourager l’accès aux études de médecines pour les populations issues des territoires concernés par la désertification permet à terme une installation plus forte dans ces zones.
En complément des mécanismes d’incitations financières, l’étude souligne aussi l’intérêt d’une régulation accrue de l’installation. Elle invite enfin en conclusion à mesurer l’impact que pourrait avoir des mesures d’aides supplémentaire comme la suppression partielle des astreintes ou la mise en place d’aide pour trouver des remplaçants lors des périodes de congés.
La Poste : des résultats contrastés de la stratégie de diversification selon la Cour des Comptes
La Cour des Comptes réalise un bilan du plan stratégique de la Poste pour 2014-2020 intitulé “La Poste 2020 : conquérir l’avenir”. La Cour met en évidence des résultats contrastés de la stratégie de diversification. Une stratégie de diversification “La Poste 2020 : conquérir l’avenir”. Le nom de la stratégie était ambitieux. Prenant acte du …
La Cour des Comptes réalise un bilan du plan stratégique de la Poste pour 2014-2020 intitulé "La Poste 2020 : conquérir l'avenir". La Cour met en évidence des résultats contrastés de la stratégie de diversification.
Une stratégie de diversification
"La Poste 2020 : conquérir l'avenir". Le nom de la stratégie était ambitieux. Prenant acte du déclin de l'activité courrier, la Poste a engagé une stratégie de diversification. Ses atouts : son réseau de proximité avec un maillage territorial fort, catalysé par le numérique.
Cette stratégie a ainsi entraîné un foisonnement d'initiatives dès 2015. A partir de 2019, l'accent est mis sur trois grandes catégories de services : ceux liés à la transition démographique et sanitaire, ceux liés à la transition écologique et énergétique et enfin ceux liés à la simplification du quotidien dans les territoires.
Des résultats contrastés
La Cour des Comptes pointe cependant que les résultats de cette stratégie sont mitigés et globalement inférieurs aux attentes. Les principaux succès reposent sur l'organisation des examens théoriques du Code de la route ou sur les services à la personne d'Axéo. Certaines offres n'ont cependant pas trouvé leur public, comme la tablette Ardoiz ou le service "Veiller sur mes parents".
D'un point de vue plus global, si le chiffre d'affaires a progressé, il demeure en deçà des objectifs fixés par la stratégie de 2014-2020.
La crise comme catalyseur
Paradoxalement, la crise pourrait jouer un rôle de catalyseur pour les nouveaux services de la Poste. En effet, La Poste est parvenue à maintenir des services de proximité, liés à la silver economy et à la santé pendant la crise. Le besoin de "poste" semble ainsi se confirmer. La part des services de proximité dans le chiffre d'affaires est en constante hausse. Celle-ci est soutenue par une stratégie de croissance externe ambitieuse.
Cependant, selon la Cour des Comptes, la Poste pourrait s'appuyer davantage sur ses réseaux de distribution pour promouvoir et commercialiser ses services. Le rôle des petites postes serait à cet égard à conforter.
Tirer les enseignements de la crise
La Cour des Comptes appelle la Poste à tirer les enseignements de la crise pour son plan stratégique "Poste 2030". Elle devrait ainsi se concentrer sur les marchés prometteurs. La question numérique est ainsi centrale : le site laposte.fr pourrait devenir une importante plateforme de e-commerce.
Par ailleurs, la Cour demande à rationaliser la diversification. Des points de convergence avec la Caisse des Dépôts, devenu actionnaire majoritaire, sont à identifier.
Pour conclure, la Cour souligne le caractère limité, à date de la diversification. Ces activités pèsent peu sur le chiffre d'affaires total. Elles contribuent marginalement au résultat du groupe. En outre, les compétences et le métier des postiers en sont peu affectés.
Dès lors, l'avenir de la Poste ne dépend pas à court terme de ces services. Néanmoins, ils doivent être intégrés à la stratégie la Poste 2030, pour accompagner la mutation du modèle postal français.
Télécharger le rapport de la Cour des Comptes
Participation de l’APVF au Conseil national des territoires pour la culture
Patrick Malavieille, maire de La Grand-Combe (30), a représenté l’APVF dans le cadre du Conseil national des territoires pour la culture du mardi 14 décembre 2021. La réunion, présidée par la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot, a permis de faire le point sur un certain nombre de sujets à forts enjeux alors que la …
Patrick Malavieille, maire de La Grand-Combe (30), a représenté l’APVF dans le cadre du Conseil national des territoires pour la culture du mardi 14 décembre 2021.
La réunion, présidée par la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot, a permis de faire le point sur un certain nombre de sujets à forts enjeux alors que la crise sanitaire continue de faire sentir ses effets sur le secteur culturel.
Ainsi, la « territorialisation » du plan de relance a été discutée. Si, sur les 2 milliards d’euros du plan de relance consacrés à la culture, 460 millions d’euros ont été jusqu’ici « territorialisés », Patrick Malavieille a pu rappeler que l’octroi des crédits aux territoires reste principalement à la main des services de l’Etat et connaît de plus une forte concentration géographique sur trois régions (Ile-de-France, Hauts de France, et Auvergne-Rhône Alpes).
Concernant le Pass culture, dont la généralisation aux collégiens sera effective dès 2022, l’APVF a souligné l’enjeu de diversification en termes de pratiques culturelles qui demeure d’actualité : les livres continuent de représenter la majorité des achats réalisés. Cette extension du dispositif au collège, à partir de la quatrième, représentera en effet en début d’année prochaine deux millions de potentiels nouveaux inscrits en plus des 780 000 jeunes de 18 ans ayant déjà un compte sur la plateforme.
Enfin, plusieurs associations d’élus, dont l’APVF, ont mis en avant l’importance de l’accompagnement et du soutien au réseau des bibliothèques et des médiathèques qui constituent bien souvent le service public culturel de proximité notamment dans les petites villes.
Protocole sanitaire dans les écoles : ce qu'implique le passage au "niveau 3"
Durant leur conférence de presse du 6 décembre dernier, le Premier ministre Jean Castex, et le ministre de la santé, Olivier Véran, ont annoncé un renforcement du protocole sanitaire dans les écoles. Les vacances scolaires de Noël ne sont pas avancées. Le Premier ministre Jean Castex, et le ministre de la santé, Olivier Véran, ont …
Durant leur conférence de presse du 6 décembre dernier, le Premier ministre Jean Castex, et le ministre de la santé, Olivier Véran, ont annoncé un renforcement du protocole sanitaire dans les écoles. Les vacances scolaires de Noël ne sont pas avancées.
Le Premier ministre Jean Castex, et le ministre de la santé, Olivier Véran, ont annoncé un renforcement du protocole sanitaire dans les écoles primaires. En effet, ils ont annoncé le passage au niveau 3 du protocole sanitaire.
Cela implique tout d'abord port du masque obligatoire dans les cours de récréation, mais également la limitation du brassage à la cantine et des activités sportives de haute intensité en intérieur.
Par ailleurs, La règle de la fermeture de la classe pour une durée de 7 jours dès le premier cas positif ne s’applique plus à l’école primaire depuis la semaine du 29 novembre : les élèves présentant un test négatif dans les 24h peuvent continuer à aller en classe.
Les collégiens à partir de la 6e qui disposent d’un schéma vaccinal complet peuvent continuer les cours en présentiel. Les élèves non-vaccinés doivent eux suivre leurs cours depuis chez eux durant la période d’isolement.
A noter enfin l'ouverture de la vaccination pour les 5-11 ans. Elle sera effective à partir du 20 décembre.
Deuxième session de l'académie des territoires
L’ANCT, Sciences Po et la Banque des Territoires réunissent leurs expertises pour proposer une série de formations. Ces formations sont à destination des élus locaux. L’Agence nationale de la cohésion des territoires, la Banque des Territoires et Sciences Po Executive Education lancent la 2e session de l’Académie des Territoires. Intitulée « être un décideur territorial …
L’ANCT, Sciences Po et la Banque des Territoires réunissent leurs expertises pour proposer une série de formations. Ces formations sont à destination des élus locaux.
L’Agence nationale de la cohésion des territoires, la Banque des Territoires et Sciences Po Executive Education lancent la 2e session de l’Académie des Territoires.
Intitulée « être un décideur territorial à l’heure des transitions », cette formation certifiante a pour objectif d’apporter aux élus méthode et outils pour construire un projet de territoire durable et inclusif. Elle engage également une démarche de communauté apprenante, qui tend à « s’inspirer et apprendre entre pairs pour des projets de territoires durables et inclusifs ».
Les formations de l'Académie des territoires se donnent plusieurs objectifs :
- Mieux appréhender les grandes transitions, écologique, démocratique, sociétale, numérique et territoriale, pour construire des projets de territoire durables et inclusifs ;
- Maîtriser les outils pour mettre en action une stratégie de résilience en associant les citoyens et l’ensemble des parties prenantes de l’action publique locale ;
- Dépasser les clivages et logiques de concurrence entre territoires pour expérimenter différentes formes d’alliance et de coopération ;
- Développer de nouveaux réseaux entre élus de territoires et d’horizons différents.
Manifeste pour des ruralités vivantes : l'APVF cosignataire
36 organisations dont l’APVF s’associent à ce manifeste « pour des ruralités vivantes » qui formule 10 propositions d’urgence. Le manifeste qui a été présenté dans sa version finale le 7 décembre au siège de la Fédération Nationale des Syndicats d’Exploitants Agricoles (FNSEA) s’organise autour des quatre thématiques suivantes : Emploi Activité facilitée au quotidien Développement Durable …
36 organisations dont l’APVF s’associent à ce manifeste « pour des ruralités vivantes » qui formule 10 propositions d’urgence.
Le manifeste qui a été présenté dans sa version finale le 7 décembre au siège de la Fédération Nationale des Syndicats d'Exploitants Agricoles (FNSEA) s’organise autour des quatre thématiques suivantes :
- Emploi
- Activité facilitée au quotidien
- Développement Durable
- Vivre Ensemble
Ce texte met en exergue l’attractivité renouvelée des territoires ruraux en particulier dans un contexte pandémique. Les petites villes ont également le vent en poupe comme l’avait souligné le baromètre IPSOS réalisé cette année par l’APVF en lien avec la Banque des Territoires et l’Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT).
Ainsi les petites villes présentes en zones rurales, où elles jouent souvent un rôle de centralité, sont à même de participer à la consolidation de ruralités vivantes. Le manifeste propose notamment la revitalisation de 10 000 centres-bourgs d’ici 2050 avec des investissements durables. L’APVF est déjà en première ligne sur ce sujet en tant que partenaire national du programme « Petites Villes de Demain ».
La publication de ce manifeste a également donné à la parution d’une tribune cosignée par l’APVF et relayée par Ouest France.
Objectifs de développement durable : Christophe Bouillon défend leur territorialisation
Christophe Bouillon est intervenu le 8 décembre à un colloque de l’Assemblée nationale sur les Objectifs de Développement durable (ODD) en présence de Jacqueline Gourault, Ministre de la Cohésion des Territoires. Christophe Bouillon a profité de l’occasion pour rappeler que la réussite des ODD dépendait des territoires. Des petites villes comme Malaunay, Loos en Gohelle …
Christophe Bouillon est intervenu le 8 décembre à un colloque de l’Assemblée nationale sur les Objectifs de Développement durable (ODD) en présence de Jacqueline Gourault, Ministre de la Cohésion des Territoires.
Christophe Bouillon a profité de l’occasion pour rappeler que la réussite des ODD dépendait des territoires. Des petites villes comme Malaunay, Loos en Gohelle ou encore Saint Avé se mobilisent pour les mettre en œuvre. De nombreuses collectivités ont adopté des Agendas 21 Locaux. Il faut utiliser les réseaux existants : Cler, TEPOS mais aussi les associations d’élus.
Les collectivités cherchent à donner du sens à leurs actions et s’inscrire dans l’action mondiale sur le développement durable. La transition écologique peut permettre aux territoires de construire un nouveau récit et redevenir attractifs comme ce qu’a fait l’ancienne ville industrielle de Loos en Gohelle. Il faut trouver le bon échelon de l’action sans ralentir le dynamisme des communes.
Plusieurs vecteurs permettent d’accompagner les collectivités dans ce combat : Petites villes de demain, Action Cœur de Ville ou encore les CRTE. Les collectivités et plus particulièrement les petites villes ont besoin d’être accompagnées. S'il faut accompagner, il faut aussi sensibiliser les citoyens : leur participation est tout aussi essentielle que celle des collectivités. L’action doit être collective mais aussi systémique conformément à l’esprit des ODD.
Plus de 40 maires aux rencontres des petites villes des Hauts-de-France
L’APVF a organisé le mardi 7 décembre en Mairie de Cysoing (59) une rencontre des petites villes des Hauts-de-France qui a réuni plus de 40 élus autour de la relance et la revitalisation. Plusieurs Maires ont présenté à cette occasion leur projet de territoire. Des représentants de l’Etat, ANCT, Banque des Territoires étaient également présents …
L'APVF a organisé le mardi 7 décembre en Mairie de Cysoing (59) une rencontre des petites villes des Hauts-de-France qui a réuni plus de 40 élus autour de la relance et la revitalisation.
Plusieurs Maires ont présenté à cette occasion leur projet de territoire. Des représentants de l'Etat, ANCT, Banque des Territoires étaient également présents pour détailler l'accompagnement à destination des collectivités.
Le Maire de Courrières (62), Christophe Pilch, est notamment revenu sur le soutien apporté aux acteurs économiques du territoire.
Bernard Baudoux, Maire d'Aulnoye-Aymeries (59), a présenté comment il tentait de reconstruire la ville sur la ville pour redynamiser son centre. Ils ont remis les services essentiels dans le centre ville pour le rendre à nouveau attractif.
La ville de le Quesnoy (59) a misé quant à elle sur son patrimoine culturel pour revitaliser son territoire.
Enfin, le Maire de Roye (80), Pascal Delnef a présenté les grands enjeux de la revitalisation dans son territoire : mobilité, aménagement, espaces publics, commerce et habitat notamment.
Ces différentes présentations ont permis de donner des idées aux petites villes de Hauts-de-France venues en nombre à la rencontre. Une nouvelle rencontre des petites villes est prévue en Mairie de Barentin, le mardi 13 janvier prochain. (Programme).
Pour retrouver le compte rendu des échanges, cliquez ici.
Annonces sanitaires : l'APVF répond présente mais demande des moyens
Christophe Bouillon, Président de l’APVF, et Loïc Hervé, président délégué de l’association, ont publié un communiqué de presse à la suite des annonces sanitaires du gouvernement du 6 décembre. S’ils réaffirment la détermination des petites villes à lutter contre ce nouvel épisode épidémique, ils demandent que l’Etat engage des moyens complémentaires. Les petites villes vont …
Christophe Bouillon, Président de l'APVF, et Loïc Hervé, président délégué de l'association, ont publié un communiqué de presse à la suite des annonces sanitaires du gouvernement du 6 décembre. S'ils réaffirment la détermination des petites villes à lutter contre ce nouvel épisode épidémique, ils demandent que l'Etat engage des moyens complémentaires.
Les petites villes vont "contribuer à la lutte contre le nouvel épisode épidémique qui frappe le pays". L'APVF réitère le message de l'implication des petites villes dans la gestion de la crise sanitaire, comme cela a été le cas pour les précédentes vagues du Covid.
L'association alerte cependant sur le degré élevé de lassitude et de fatigue des services, soumis au "stop and go" des décisions gouvernementales. La mobilisation des maires doit donc prendre en compte cet aspect.
Les Maires des petites villes soulignent par conséquent le devoir pour l'Etat d'accompagner ces efforts par des moyens logistiques et financiers. L'APVF souligne que les mesures, par exemple dans le domaine scolaire, pour être efficaces doivent être coconstruites.
Télécharger le communiqué de presse