ESPACE MEMBRE
Transition écologique : la campagne chèques énergie 2022 est lancée !
La campagne chèques énergie 2022 est ouverte du 30 mars au 30 avril. Le chèque énergie doit permettre aux revenus modestes de bénéficier d’une aide pour payer les factures d’énergie de leur logement ou leurs travaux de rénovation énergétique. Il bénéficie à presque 6 millions de ménages chaque année en fonction de leurs conditions de …
La campagne chèques énergie 2022 est ouverte du 30 mars au 30 avril.
Le chèque énergie doit permettre aux revenus modestes de bénéficier d’une aide pour payer les factures d’énergie de leur logement ou leurs travaux de rénovation énergétique. Il bénéficie à presque 6 millions de ménages chaque année en fonction de leurs conditions de ressource. Les particuliers le recevront à leur domicile entre le 30 mars et le 30 avril.
Pour plus d’informations sur les aides, cliquez ici.
Plan #1jeune1solution en faveur de l’emploi des jeunes : un dispositif légitime, un succès à relativiser
« Le chômage des jeunes de 15 à 24 ans est en France au moins deux fois plus élevé que celui de l’ensemble de la population. » La faiblesse des dispositifs en faveur de l’emploi des jeunes avait été pointée du doigt par la Cour des comptes en 2016. Dans son rapport public annuel 2022, la Cour …
« Le chômage des jeunes de 15 à 24 ans est en France au moins deux fois plus élevé que celui de l’ensemble de la population. » La faiblesse des dispositifs en faveur de l’emploi des jeunes avait été pointée du doigt par la Cour des comptes en 2016. Dans son rapport public annuel 2022, la Cour évalue le plan « #1jeune1solution » annoncé par le Gouvernement en juillet 2020.
La Cour a examiné les conditions de déploiement, les premiers résultats et le coût de ce plan, dont le montant total pourrait avoisiner 10 Md€. Pour elle, la crise sanitaire a justifié une telle intervention des pouvoirs publics, mais « celle-ci a été parfois mal proportionnée » et malgré une « forte mobilisation » pour la mise en œuvre du plan, « son succès est à relativiser ».
Le lancement du plan « #1jeune1solution », initialement doté pour 2020 et 2021 de 6,5 Md€, dont 5,3Md€ de mesures gérées par le ministère chargé du travail, a été annoncé le 23 juillet 2020.
- Les objectifs du plan rappelés par la Cour :
Le plan devait augmenter le nombre d’entrées en formation de jeunes de moins de 30 ans, en les faisant passer de 345 000 en 2020 à 415 000 en 2021, puis 375 000 en 2022.
Dans le domaine de l’accompagnement, il a été prévu 80 000 entrées supplémentaires en Pacea en 2021, soit 420 000 au lieu de 340 000. A été annoncée, en outre, une hausse de 50 % du nombre de places en Garantie jeunes pour atteindre 150 000 entrées en 2021, objectif par la suite porté à 200 000. Des places supplémentaires (+ 70 000 places en 2020 et + 140 000 places en 2021) ont aussi été ouvertes dans le dispositif d’accompagnement intensif jeunes (AIJ) instauré par Pôle emploi et qui avait bénéficié à 100 000 jeunes en 2019. S’y ajoutent l’expérimentation d’un parcours d’accompagnement destiné à 35 000 « décrocheurs », qui doit être mis en œuvre par l’Afpa (objectif ramené ensuite à 30000), ainsi qu’une nouvelle prestation, offerte par l’Apec, d’accompagnement renforcé des jeunes diplômés en recherche d’emploi.
Des objectifs ont également été fixés pour la signature de nouveaux contrats aidés. Dans le secteur non-marchand, l’objectif de 20 000 jeunes en parcours emploi compétences (PEC) a été fixé pour 2020 et il est de 80 000 pour 2021, alors que ces contrats n'étaient plus ciblés prioritairement sur les jeunes. Dans le secteur marchand, 10 000 jeunes peuvent bénéficier de contrats initiative emploi (CIE) en 2020 et 50 000 en 2021, alors que ces contrats avaient disparu (sauf en outre-mer).
L’aide allouée pour l’embauche en CDI ou en CDD pour au moins six mois d’un résident d’un quartier prioritaire de la politique de la ville (QPV), dite « emploi franc », a été majorée pour le recrutement d’un jeune de moins de 26 ans, entre le 15 octobre 2020 et le 31 mai 2021155.
Le plan « #1jeune1solution » comporte aussi l’introduction de nouvelles mesures favorisant l’accès à une expérience professionnelle, avec deux aides exceptionnelles à l’embauche : l’une pour les jeunes, quel que soit leur profil, d’un montant de 4000 €, l’autre pour le recrutement d’alternants, d’un montant de 5000 € ou 8000 € selon l’âge des bénéficiaires. Cette aide, « plus avantageuse », remplace pendant la crise l’aide unique à l’apprentissage versée aux employeurs d’apprentis.
Enfin, les jeunes bénéficient des dispositifs de droit commun, et en particulier de l’activité partielle, ainsi que de mesures spécifiques, notamment l’augmentation des places en service civique, dont le nombre est passé de 145 000 à 245 000, auxquels s’ajoute l’objectif de 26 500 places supplémentaires pour permettre la poursuite d’études.
- L’insuffisante prise en compte des besoins et des capacités des territoires
Les objectifs en volume de contrats aidés et d’entrées en Garantie jeunes ont été déclinés à l’échelon départemental, voire au niveau du bassin d’emploi (contrats aidés) ou à celui de chaque mission locale (Garantie jeunes). Or, selon la Cour des comptes, « ces objectifs de volumes à atteindre localement n’ont qu’à la marge tenu compte des disparités territoriales ».
En pratique, les valeurs cibles pour la Garantie jeunes fixées ont été presque systématiquement doublées, alors que la demande d’emploi locale des jeunes était très différente d’une région à l’autre, notamment en raison de la spécialisation sectorielle de chacune d’entre elles et de l’impact variable de la crise selon les secteurs. Par exemple, alors que la demande d’emploi en Île-de-France avait augmenté de 17 % de septembre 2019 à septembre 2020, contre 3 % en Normandie, une cible identique a été fixée à ces deux régions.
De même, fin juillet 2020, la Cour souligne que l’objectif de 100 000 formations supplémentaires a donné lieu à une répartition entre régions, sans distinction entre les bassins d’emploi les plus touchés par la crise et ceux qui l’étaient le moins.
- Malgré une forte mobilisation pour la mise en œuvre du plan, un succès à relativiser
Alors que les moyens mis en œuvre pour accompagner le plan ont été importants, le succès est très inégal.
Si l’inclusion d’un volet consacré à la formation pouvait paraître légitime, puisqu’il s’agit d’une composante fondamentale des politiques de l’emploi, elles ne constituent pas forcément une réponse adéquate à une dégradation conjoncturelle, car il s’agit de politiques qui demandent une mise en œuvre allant de 18 mois à deux ans.
Aussi, pour la Cour des comptes, la réactivation des contrats aidés après leur forte diminution (ils sont passés de 110 000 en 2016 à 17 500 en 2019) ne va pas de soi comme réponse à une crise conjoncturelle.
Enfin, en amplifiant l’existant, le plan n’a pas proposé de réponse à la question des « invisibles », c’est-à-dire celle des jeunes inconnus des services de l’emploi, trop éloignés des institutions pour pouvoir intégrer les dispositifs d’accompagnement usuels.
Consommation d’énergie locale : Amorce et la Banque des territoires lancent un outil pour réduire la facture des collectivités
Amorce et la Banque des Territoires viennent de lancer l’outil eSHERPA, un simulateur gratuit et indépendant pour aider les collectivités à réduire leur facture énergétique dans un contexte de hausse des prix de l’énergie Toutes les collectivités peuvent accéder à cet outil en ligne qui va être très utile pour les territoires qui subissent de …
Amorce et la Banque des Territoires viennent de lancer l’outil eSHERPA, un simulateur gratuit et indépendant pour aider les collectivités à réduire leur facture énergétique dans un contexte de hausse des prix de l’énergie
Toutes les collectivités peuvent accéder à cet outil en ligne qui va être très utile pour les territoires qui subissent de plein de fouet la hausse des prix de l’énergie.
Indépendant et gratuit, eSHERPA, développé avec le soutien technique d’Inddigo, et le soutien financier de la Banque des Territoires, permet en quelques clics :
- D’identifier les actions de maîtrise de l’énergie les plus efficientes pour favoriser le retour sur investissement, respecter leurs obligations réglementaires et limiter l’impact environnemental de leurs bâtiments ; par exemple, avec la mise en place d’un système de régulation pour le chauffage.
- D’évaluer les coûts et d’identifier les financements mobilisables (dotations et aides d’État, dispositifs CEE, prêt de la Banque des Territoires, etc.) pour engager des actions de maîtrise de l’énergie ; par exemple, l’intracting, financement innovant proposé par la Banque des Territoires.
En complément du simulateur, AMORCE met à disposition une boîte à outils en ligne qui contient une série de documents ressources, de webinaires et de bonnes pratiques utiles pour élaborer une stratégie adaptée aux spécificités de chaque collectivité
Pour accéder à l’outil, cliquez ici.
Etude BPCE : les collectivités territoriales, 1er financeur public du sport
L’Observatoire BPCE a consacré une étude relative au financement du sport par les collectivités territoriales qui met en lumière leur poids conséquent dans le soutien aux pratiques sportives. Le rôle central des collectivités territoriales dans le financement du sport L’étude nous apprend que si l’ensemble du soutien public au sport peut être évalué à 20 …
L'Observatoire BPCE a consacré une étude relative au financement du sport par les collectivités territoriales qui met en lumière leur poids conséquent dans le soutien aux pratiques sportives.
Le rôle central des collectivités territoriales dans le financement du sport
L'étude nous apprend que si l'ensemble du soutien public au sport peut être évalué à 20 milliards d'euros, la contribution émanant des budgets locaux est de l'ordre de 60% et s'élève à environ 12,5 milliards d'euros chaque année.
Cet effort est avant tout porté par les communes : avec 8 milliards d'euros il s'agit de leur deuxième poste de dépenses après l'enseignement. Il existe également une implication des intercommunalités évaluée à 3,1 milliards d'euros par l'Observatoire BPCE. L'effort cumulé des régions et des départements atteint de son côté 1,4 milliard d'euros.
L'importance de la politique sportive pour les élus locaux
Le sport représente 6% des dépenses des collectivités territoriales mais plus de 10% du budget des communes et des intercommunalités. En outre, les collectivités territoriales sont propriétaires de 83% des 318 000 équipements sportifs recensés en France, 73% pour les seules communes.
L'étude identifie trois phénomènes principaux en cours depuis une vingtaine d'années :
• L’intercommunalité joue un rôle croissant dans la construction et la gestion des équipements ;
• La place du privé dans le parc des équipements sportifs ne cesse de croître et représente 18% des équipements mis en services depuis 2005 ;
→ Ces deux phénomènes conduisent ainsi à une réduction du poids des communes dans les nouveaux équipements sportifs depuis 2005, même s’il demeure prépondérant.
• L’investissement en construction neuve ralentit nettement au profit des travaux de rénovation (mise aux normes et adaptation aux besoins) et surtout des travaux de réhabilitation, plus coûteux et liés à l’ancienneté du parc dont la moitié a été construite durant les « trente glorieuses » de l’équipement sportif, entre 1965 et 1995.
Partenariat : L’APVF et la CNR s’associent pour accélérer la transition écologique
L’APVF et la CNR ont signé leur première convention de partenariat le mardi 5 avril. Christophe Bouillon a pu échanger à cette occasion avec Laurence Borie-Bancel, la nouvelle Présidente du Directoire de la CNR. Ils ont notamment pu dessiner les grands axes de ce nouveau partenariat : la lutte contre la pollution plastique, l’acceptabilité et …
L’APVF et la CNR ont signé leur première convention de partenariat le mardi 5 avril. Christophe Bouillon a pu échanger à cette occasion avec Laurence Borie-Bancel, la nouvelle Présidente du Directoire de la CNR.
Ils ont notamment pu dessiner les grands axes de ce nouveau partenariat : la lutte contre la pollution plastique, l’acceptabilité et l’appropriation des projets ainsi que la question des friches.
Ces enjeux sont en effet essentiels pour les petites villes. La question de la pollution plastique est une urgence écologique et sanitaire. Le défi de l’acceptabilité et de l’appropriation vont être cruciaux pour accélérer le développement des énergies renouvelables et répondre aux défis de la transition écologique dans nos territoires.
Réchauffement climatique : C’est maintenant ou jamais selon le Giec
Le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a publié cette semaine le 3e volet du 6e rapport d’évaluation. Ils rappellent l’urgence à l’agir mais aussi le rôle clé des collectivités. L’urgence à agir Selon le GIEC, il nous reste 3 ans pour inverser la tendance et rester dans l’objectif de +1.5 °C. Après …
Le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a publié cette semaine le 3e volet du 6e rapport d’évaluation. Ils rappellent l’urgence à l’agir mais aussi le rôle clé des collectivités.
L’urgence à agir
Selon le GIEC, il nous reste 3 ans pour inverser la tendance et rester dans l’objectif de +1.5 °C. Après une année d’accalmie liée au confinement, 2021 a été marquée par un nouveau record d’émissions de gaz à effet de serre. Les Etats ne respectent pas pour l’instant leurs engagements pris à Paris en 2015. Seuls 24 des 200 signataires de l’accord ont durablement réduit leur émission. Le GIEC appelle donc à une transformation globale, rapide et radicale de notre économie. Cette transformation passera par la décarbonation de notre industrie mais également par le développement rapide et massif des énergies renouvelables et par le développement des nouvelles mobilités moins carbonées. Pour limiter le réchauffement à 1,5 °C, le monde doit réduire les émissions annuelles de CO2 de 48 % d’ici à 2030 et atteindre un niveau net nul d’ici à 2050. Il n’est pas encore trop tard pour agir. « Nous nous trouvons à la croisée des chemins. En prenant les bonnes décisions aujourd'hui, nous pouvons garantir un avenir vivable. Nous disposons des outils et du savoir-faire nécessaires pour limiter le réchauffement », explique Hoesung Lee, le président du GIEC
Le rôle clé de l’échelon local
Le GIEC met l’accent sur le rôle clé des territoires et de l’action locale. Il faut développer les espaces verts, les transports collectifs, les énergies renouvelables et rénover nos bâtiments. Ces enjeux sont au niveau de la commune et bien souvent des petites villes. Selon le GIEC, les financements existent pour financer ces différents projets locaux. Ce qui manque ce sont les bons signaux pour orienter ces financements.
Les experts du GIEC rappellent enfin que cette transition a un coût qui est bien moindre que l’adaptation aux changements climatiques.
Retrouver le communiqué de presse du GIEC en cliquant ici.
Post-covid : l'exode urbain se confirme-t-il ?
Le Réseau Rural Français et le Plan Urbanisme Construction Architecture pilotent une étude intitulée « Exode urbain : impacts de la pandémie de COVID-19 sur les mobilités résidentielles ». L’APVF revient sur les premières conclusions de l’étude. Deux grands enseignements peuvent être tirés : L’exode urbain n’a globalement pas lieu Cette étude montre tout d’abord, …
Le Réseau Rural Français et le Plan Urbanisme Construction Architecture pilotent une étude intitulée « Exode urbain : impacts de la pandémie de COVID-19 sur les mobilités résidentielles ». L'APVF revient sur les premières conclusions de l'étude. Deux grands enseignements peuvent être tirés :
- L'exode urbain n'a globalement pas lieu
Cette étude montre tout d'abord, chiffres à l'appui, que l'exode urbain annoncé après la crise du Covid ne se confirme pas pour l'instant. Les auteurs de l'étude ne constate pas de grandes modifications des structures territoriales. Elles restent marquées par la centralité des grands pôles urbains et l'attractivité des façades littorales.
- Mais des déplacements sont bien constatés...
En regardant plus dans le détail, deux phénomènes peuvent être observés via des petits flux : le développement de la péri-urbanisation et le renforcement de l'attractivité des espaces ruraux. Les villes petites et moyennes centres enregistrent un solde migratoire positif qui s’est renforcé post-crise. Les espaces péri-urbains connaissent également un solde migratoire positif avec l'accélération de la péri-urbanisation. Les espaces ruraux voient aussi leur solde migratoire augmenter favorablement. Cette « renaissance rurale » ne concerne néanmoins pas tous les territoires et tous les ménages comme le souligne cette étude. Ces déplacements de population vont dépendre du profil des ménages. Les personnes pouvant faire du télé-travail ou en pré-retraite auront davantage tendance à passer le pas.
Retrouver l’intégralité de l’étude en cliquant ici.
Votez pour qui vous voulez... mais votez petites villes !
Dans une tribune publiée le vendredi 1er avril 2022 dans Le Monde, l’APVF rappelle les axes forts de son Manifeste des petites villes de France adressé aux candidats à l’élection présidentielle, et met en exergue les sujets sur lesquels le prochain quinquennat ne pourra faire l’impasse. Les élus cosignataires de la tribune déclarent ainsi : …
Dans une tribune publiée le vendredi 1er avril 2022 dans Le Monde, l'APVF rappelle les axes forts de son Manifeste des petites villes de France adressé aux candidats à l'élection présidentielle, et met en exergue les sujets sur lesquels le prochain quinquennat ne pourra faire l'impasse.
Les élus cosignataires de la tribune déclarent ainsi : "Nous le remarquions lors de la précédente campagne présidentielle en 2017, le temps du « tout métropole » touche à sa fin. La crise sanitaire a accentué un phénomène que nous pouvions déjà observer, les collectivités à taille humaine retrouvent grâce aux yeux de nos concitoyens".
Dans cette perspective, la tribune identifie quatre grands domaines d'intervention prioritaires pour la prochaine mandature :
- L'accès aux soins
- La réindustrialisation et la revitalisation de nos territoires
- La réussite de la transition écologique
- Un nouveau pacte de confiance entre l'Etat et les collectivités territoriales
Pour lire la tribune dans son intégralité cliquez ici
Pour retrouver l'ensemble des propositions portées dans le Manifeste des petites villes de France cliquez ici
Réunion du Conseil d'administration de l'APVF
Le Conseil d’Administration de l’APVF s’est réuni le mardi 5 avril. Cette réunion a également donné lieu au renouvellement de la convention de partenariat entre l’APVF et la Confédération nationale du Crédit Mutuel pour l’année 2022. Plus d’une trentaine d’élus de l’APVF se sont retrouvés pour ce premier Conseil d’administration en présentiel depuis celui tenu …
Le Conseil d'Administration de l'APVF s'est réuni le mardi 5 avril. Cette réunion a également donné lieu au renouvellement de la convention de partenariat entre l'APVF et la Confédération nationale du Crédit Mutuel pour l'année 2022.
Plus d'une trentaine d'élus de l'APVF se sont retrouvés pour ce premier Conseil d'administration en présentiel depuis celui tenu lors de nos dernières Assises à Cenon en 2021. Ce temps d'échange a été l'occasion d'aborder de nombreux sujets d'importance pour l'association :
- Hausse du prix de l'énergie dans les collectivités
- Publication du Manifeste des petites villes de France adressé aux candidats à l'élection présidentielle
- Accueil des réfugiés venus d'Ukraine dans les petites villes
- Dégel du point d'indice
Ce Conseil d'administration s'est tenu au siège de la Confédération nationale du Crédit Mutuel qui est un partenaire de l'APVF. Cette réunion a également donné lieu à la signature, par Pierre-Edouard Batard, Directeur général de la Confédération nationale du Crédit Mutuel, et Christophe Bouillon, Maire de Barentin et Président de l'APVF, de la convention de partenariat entre nos deux organisations pour l'année 2022.
L'APVF et SFR renouvellent leur partenariat
L’APVF a renouvelé son partenariat avec SFR. La collaboration entre les deux entités concerne principalement la question de l’inclusion numérique. Un soutien est apporté par SFR dans ce cadre aux réfugiés ukrainiens. Le mardi 4 mars, l’APVF et SFR ont renouvelé leur partenariat. Une délégation de l’APVF a été reçue dans les locaux d’Altice par …
L'APVF a renouvelé son partenariat avec SFR. La collaboration entre les deux entités concerne principalement la question de l'inclusion numérique. Un soutien est apporté par SFR dans ce cadre aux réfugiés ukrainiens.
Le mardi 4 mars, l'APVF et SFR ont renouvelé leur partenariat. Une délégation de l'APVF a été reçue dans les locaux d'Altice par son Directeur Général, Grégory Rabuel.
La rencontre a permis d'évoquer la question du soutien aux réfugiés ukrainiens. La commune d'Autun, dirigée par Vincent Chauvet s'est mise en relation pour mettre à disposition de cartes SIM par Emmaüs Connect. L'association est partenaire de SFR.
Plus généralement, concernant l'inclusion numérique, des échanges fructueux ont eu lieu concernant les armoires d'accès à la fibre. Ces armoires sont souvent détériorées avec pour effet des coupures d'accès à la fibre dans les communes concernées. Cela constitue à la fois un coût pour les opérateurs et cela entraîne une mauvaise couverture pour les collectivités. L'APVF et SFR ont convenu de relayer, selon leurs propres canaux, un message auprès des régulateurs pour revoir le modèle d'exploitation existant.
Etaient présents pour l'APVF, Christophe Bouillon, président de l'association et maire de Barentin, Jean-Michel Morer, maire de Trilport et Vincent Chauvet, maire d'Autun.