28
avril
2022
Retour sur l'action des compagnies républicaines de sécurité

Retour sur l'action des compagnies républicaines de sécurité

Services publics

Les compagnies républicaines de sécurité, plus connues sous le nom de CRS, occupent une place singulière au sein de la police nationale. Créées en 1944, elles concourent au maintien de l’ordre, tout en assurant des missions spécialisées de surveillance et de secours. Les compagnies républicaines de sécurité comptent 13 672 personnels répartis en 61 compagnies …

Les compagnies républicaines de sécurité, plus connues sous le nom de CRS, occupent une place singulière au sein de la police nationale. Créées en 1944, elles concourent au maintien de l'ordre, tout en assurant des missions spécialisées de surveillance et de secours.

Les compagnies républicaines de sécurité comptent 13 672 personnels répartis en 61 compagnies commandées par 7 directions zonales. Elles réalisent trois missions principales :

  • Le maintien de l'ordre - qui correspond à près du tiers de l'activité des unités ;
  • La lutte contre l'immigration clandestine - qui mobilise les unités à hauteur du quart de leur temps ;
  • La sécurisation générale pour le reste de leur activité.

La coordination et la répartition de ces forces sur le territoire est assurée par l'unité de coordination des forces mobiles. Depuis le 1er juillet 2021, une unité spécifique, forte de 200 agents, est dédiée à la lutte contre les violences urbaines.

Elles contribuent enfin à la lutte contre la délinquance routière et à la sécurisation des plages et montagnes.

Pour plus d'information, téléchargez la notice d'information de la Police nationale

 

 

28
avril
2022
Extension des compétences vaccinales des professionnels de santé

Extension des compétences vaccinales des professionnels de santé

Santé

Plusieurs décrets et arrêtés publiés au Journal officiel du 23 avril 2022 étendent les compétences vaccinales pour les infirmiers, les sages-femmes et les pharmaciens. L’ensemble des dispositions sont en vigueur depuis le 24 avril 2022. Sages-femmes Le décret du 21 avril 2022 précise dans quelles conditions les conditions  les sages-femmes peuvent prescrire et administrer des vaccinations aux femmes et …

Plusieurs décrets et arrêtés publiés au Journal officiel du 23 avril 2022 étendent les compétences vaccinales pour les infirmiers, les sages-femmes et les pharmaciens.

L’ensemble des dispositions sont en vigueur depuis le 24 avril 2022.

Sages-femmes

Le décret du 21 avril 2022 précise dans quelles conditions les conditions  les sages-femmes peuvent prescrire et administrer des vaccinations aux femmes et aux enfants ainsi qu’à l'entourage.

Les pathologies sont définies dans l’arrêté du 21 avril 2022 ; la liste varie selon la personne recevant le vaccin.

Infirmiers

Le décret  21 avril 2022 ouvre aux infirmiers la possibilité d’administrer, sans prescription médicale préalable de l'acte d'injection, plusieurs vaccins.

 

Un arrêté du 21 avril 2022 fixe la liste des personnes pouvant bénéficier des vaccinations administrées par un infirmier :

  • Les personnes majeures pour lesquelles les vaccinations sont recommandées dans le calendrier des vaccinations en vigueur
  • Les personnes majeures non ciblées par les recommandations vaccinales en vigueur
  • Les personnes mineures âgées de 16 ans et plus pour lesquelles les vaccinations sont recommandées dans le calendrier des vaccinations en vigueur

Pharmaciens

Un arrêté du 21 avril 2022 autorise les pharmaciens travaillant en officine à administrer plusieurs vaccins mais toujours pour le moment sur présentation d'une ordonnance médicale :

Les personnes ci-dessous sont concernées :

  • Les personnes majeures pour lesquelles ces vaccinations sont recommandées dans le calendrier des vaccinations en vigueur
  • Les personnes majeures non ciblées par les recommandations vaccinales en vigueur
  • Les personnes mineures âgées de 16 ans et plus pour lesquelles ces vaccinations sont recommandées dans le calendrier des vaccinations en vigueur

28
avril
2022
Déploiement d'un dossier unique pour les demandes d'aides à l'autonomie

Déploiement d'un dossier unique pour les demandes d'aides à l'autonomie

Santé

La Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) développe depuis deux ans un dossier unique pour favoriser l’accès aux aides à l’autonomie. Retour sur le déploiement de ce dispositif. Pour le moment, ce sont 25 départements qui utilisent ce formulaire unique. Il existe en deux versions : Une version papier accessible en cliquant ici Une …

La Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) développe depuis deux ans un dossier unique pour favoriser l’accès aux aides à l’autonomie. Retour sur le déploiement de ce dispositif.

Pour le moment, ce sont 25 départements qui utilisent ce formulaire unique.

Il existe en deux versions :

  • Une version papier accessible en cliquant ici
  • Une version numérique accessible en cliquant ici

 

Si l’objectif affiché à terme est que 100% des départements puissent accéder au formulaire numérique, il n’est pas pour autant question de le rendre obligatoire. Le formulaire papier restera accessible.

 

Les départements qui proposent le service en ligne et le formulaire papier :

Haute-Marne (52)

Mayenne (53)

Nièvre (58)

Hautes-Pyrénées (65)

Rhône (69)

Les départements qui proposent uniquement le formulaire papier :

Cher (18)

Dordogne (24)

Eure-et-Loir (28)

L’Ille-et-Vilaine (35)

Loir-et-Cher (41)

Loiret (45)

Maine-et-Loire (49)

Meurthe-et-Moselle (54)

Meuse (55)

Nord (59)

Pyrénées-Atlantiques (64)

Savoie (73)

Paris (75)

Vendée (85)

Haute-Vienne (87)

Vosges (88)

Essonne (91)

28
avril
2022
Mobilités : la voiture garde une place essentielle dans les petites villes

Mobilités : la voiture garde une place essentielle dans les petites villes

Attractivité et aménagement du territoire

C’est la principale leçon à retenir de l’observatoire des mobilités publié par l’IFOP. Cette enquête montre bien que les enjeux de mobilité ne sont pas les mêmes dans les petites villes ou communes rurales et les grandes métropoles. 1er leçon : la voiture, essentielle dans les petites villes Cette enquête montre bien que la voiture occupe …

C’est la principale leçon à retenir de l’observatoire des mobilités publié par l’IFOP. Cette enquête montre bien que les enjeux de mobilité ne sont pas les mêmes dans les petites villes ou communes rurales et les grandes métropoles.

1er leçon : la voiture, essentielle dans les petites villes

Cette enquête montre bien que la voiture occupe une forte place dans la vie des Français. C’est le mode de transport principal pour 66 % des Français. 92 % des habitants des territoires ruraux estiment y être dépendants contre 47 % dans l’agglomération parisienne. Il y a bien une offre de mobilités à deux vitesses.

2e Leçon : un coût inégal selon les territoires

Le budget des ménages consacré aux déplacements est plus important dans les petites villes et le rural que dans les grandes aires urbaines. Faute d’alternative, la baisse des prix des carburants est prioritaire pour les ménages vivant dans ces territoires.

3e Leçon : les Français pas opposés à la baisse de la voiture individuelle mais réticents à la voiture électrique

Près de la moitié des Français estiment que la réduction de la voiture individuelle serait une bonne chose dans les années à venir. Les jeunes sont plus favorables à cette réduction. En revanche, les Français sont moins enthousiastes sur la voiture électrique. La question du prix est un levier essentiel pour accélérer leur développement selon cette enquête.

Pour retrouver l’enquête complète, cliquez ici.

28
avril
2022
Economies d’énergie des bâtiments publics : l’APVF décrypte la circulaire

Economies d’énergie des bâtiments publics : l’APVF décrypte la circulaire

Ville intelligente et durable

Mi-avril, le Premier ministre a adressé à tous les préfets une circulaire sur la réduction de la consommation d’énergie des bâtiments publics. La circulaire prévoit notamment la baisse du niveau de chauffage, un meilleur entretien des systèmes de chauffage des bâtiments et l’interdiction des chauffages d’appoint. Le texte prévoit également l’accélération des travaux de rénovation …

Mi-avril, le Premier ministre a adressé à tous les préfets une circulaire sur la réduction de la consommation d’énergie des bâtiments publics.

La circulaire prévoit notamment la baisse du niveau de chauffage, un meilleur entretien des systèmes de chauffage des bâtiments et l’interdiction des chauffages d’appoint. Le texte prévoit également l’accélération des travaux de rénovation en cours. Ces obligations s’imposent aux bâtiments de l’Etat et de ses opérateurs. Le préfet devra inciter les collectivités à faire de même pour leur bâtiment. Pour rappel, le bâti public des collectivités est 3 fois plus important que celui de l’Etat (280 millions de m2 contre 100 millions). Les collectivités et notamment les petites villes sont donc plus particulièrement touchées par cette crise. La facture énergétique a augmenté jusqu’à + 500 % dans certains territoires. 90 % des petites communes sont touchées selon une enquête de l’APVF.

Pourtant, comme le souligne à nouveau la circulaire, les mesures d’accompagnement ciblent en priorité les particuliers et les entreprises. Selon le Gouvernement, la bonne santé financière des collectivités et les différentes mesures prévues leur permettront de traverser la crise et de limiter l’impact de la hausse des prix de l’énergie à 8 %.

Cette réponse apparait donc tardive, non ciblée et insuffisante. Il faut accompagner davantage les collectivités dans le développement de productions d’énergies renouvelables locales et accélérer la rénovation des bâtiments publics en augmentant les financements mais aussi en simplifiant les dispositifs. L’impact de la hausse sur les particuliers et les collectivités aurait pu être limité si on avait été plus vite sur la rénovation énergétique des bâtiments.

Pour retrouver l’ensemble de la circulaire, cliquez ici.

28
avril
2022
Commission des finances locales de l’APVF : tour d’horizon sur le vote des budgets 2022, l’inflation, la contractualisation et l’autonomie financière locale

Commission des finances locales de l’APVF : tour d’horizon sur le vote des budgets 2022, l’inflation, la contractualisation et l’autonomie financière locale

Finances et fiscalité locales

Le 28 avril 2022 s’est réunie la commission des finances de l’APVF, sous l’égide d’Antoine Homé, Maire de Wittenheim, Premier vice-président et Romain Colas, Maire de Boussy-Saint-Antoine, Vice-président. Une occasion de revenir sur les principaux sujets d’actualité qui préoccupent les petites villes. Après avoir introduit cette réunion par un point d’actualité technique, avec notamment l’amplification …

Le 28 avril 2022 s’est réunie la commission des finances de l’APVF, sous l’égide d’Antoine Homé, Maire de Wittenheim, Premier vice-président et Romain Colas, Maire de Boussy-Saint-Antoine, Vice-président. Une occasion de revenir sur les principaux sujets d’actualité qui préoccupent les petites villes.

Après avoir introduit cette réunion par un point d’actualité technique, avec notamment l’amplification du mouvement de déploiement du référentiel M 57 et l’expérimentation du compte financier unique, Antoine Homé a présenté les principaux résultats des dernières enquêtes de l’APVF sur la situation financière des petites villes en 2021 et les perspectives 2022. Les budgets locaux, qui sont encore très marqués par la crise sanitaire avec des pertes de recettes tarifaires persistantes, subissent depuis fin 2021 une hausse inédite et généralisée de leurs dépenses d’énergie (entre + 15 et + 50%). Face à ces nouveaux facteurs de fragilisation, plusieurs leviers ont été actionnés. Les deux principaux : la réalisation d’économie d’énergie et le report des investissements planifiés. Certaines petites villes font état de réduction des dépenses de fonctionnement, de refonte des tarifs des prestations municipales, de réduction des subventions versées (aux associations…), et de réflexions à venir sur des fermetures d’équipements d’ici l’automne. Ce contexte d’instabilité ne présage rien de bon pour la relance et les services publics de proximité. Thomas Rougier, secrétaire général de l’OFGL, a mis en perspective ces résultats avec quelques chiffres témoignant d’une certaine embellie de la situation financière globale des collectivités en 2021 : hausse des fonds déposés au Trésor, rebond des niveaux d’investissement (certes sans atteindre un niveau record…), et augmentation de la capacité d’autofinancement des collectivités territoriales. Les enquêtes de l’APVF révèlent malgré tout une grande disparité de situations parmi les petites villes : elles sont nombreuses à voir leur épargne brute et nette baisser, de même pour leur capacité d’autofinancement en 2021 et en 2022.

La nouvelle trajectoire d’effort d’économie annoncée, à hauteur de 10 milliards d’euros, soit 50 % de l’effort national, qui se matérialiserait par une nouvelle génération de contrats Cahors au périmètre étendu, n’est pas sans inquiéter les élus des petites villes présents. C’est « surréaliste » réagit Hervé Cherubini, Maire de Saint-Rémy-de-Provence, d’autant que l’on ne comprend pas bien l’objectif. Pour Romain Colas, cette question de la contractualisation devra quoi qu'il en soit s’intégrer dans une logique de responsabilité : elle devra être fondée sur de grands objectifs de politiques publiques définis en concertation et s’accompagner d’une vraie réflexion sur le financement des collectivités et l’autonomie financière et fiscale locale. Le Maire de Boussy-Saint-Antoine a suggéré que l’APVF interpelle l’ensemble des candidats aux législatives sur tous ces enjeux. Démarche qui a recueilli l’assentiment des participants à la commission et notamment, Frédéric Sausset, Maire de Tournon-sur-Rhône et de Christophe Lubac, Maire de Ramonville-Saint-Agne. Philippe Laurent, Maire de Sceaux, Vice-président de l’APVF, a indiqué que le Parlement avait son rôle à jouer dans la défense des intérêts des territoires et qu’il fallait consolider les relations entre élus locaux et députés. Au-delà des enjeux d’autonomie financière, il convient d’alerter les candidats sur le grand risque de dégradation des services publics de proximité (services d’aide à domicile, crèches…) résultant de l’insuffisante autonomie de gestion des collectivités, du manque de moyens et surtout, du manque de visibilité et de confiance dans l’avenir. Si la bonne tenue des comptes des collectivités territoriales leur a permis d’absorber le choc de la crise sanitaire et désormais de faire face au choc conjoncturel lié à l’inflation et à la hausse des prix de l’énergie, cela ne préjuge en rien de leur capacité, sur le plus long terme, à répondre aux grands enjeux des transitions. Et, comme l’a rappelé Romain Colas, « la transition écologique ne se fera pas sans investissement ».

28
avril
2022
Finances locales : l’APVF auditionnée par la Cour des comptes

Finances locales : l’APVF auditionnée par la Cour des comptes

Finances et fiscalité locales

Dans la perspective de la publication en juin du premier fascicule du rapport sur les finances locales de la Cour des comptes, l’APVF représentée par Romain Colas, Maire de Boussy-Saint-Antoine, Vice-président de l’APVF a été auditionnée. Face au constat général établi par la Cour d’une embellie de la situation financière des collectivités territoriales, Romain Colas …

Dans la perspective de la publication en juin du premier fascicule du rapport sur les finances locales de la Cour des comptes, l’APVF représentée par Romain Colas, Maire de Boussy-Saint-Antoine, Vice-président de l’APVF a été auditionnée.

Face au constat général établi par la Cour d’une embellie de la situation financière des collectivités territoriales, Romain Colas appelle à la mesure : ce qui peut apparaître comme satisfaisant au global, peut masquer de vraies difficultés sur le terrain. Et, le principal enjeu pour les petites villes, c’est l'investissement. La transition écologique ne se fera pas sans nouveaux investissements. Or, les différentes crises sanitaires et conjoncturelles actuelles contribuent à réduire la capacité d'autofinancement des collectivités. La hausse sensible du coût de l’investissement oblige de nombreux élus à repousser leurs projets. Donc, même s’ils gèrent bien, beaucoup d’élus de petites villes sont dans un exercice de grande précarité.

Les élus sont prêts à prendre leur part en toute responsabilité, mais font face par ailleurs à des mesures contradictoires de réduction de leur autonomie. A propos de l’annonce de la suppression de la CVAE, l’APVF y est opposée car elle risque de fragiliser le tissu économique des territoires. Ces réformes fiscales, sans réflexion d’ensemble, ne contribuent pas à donner de la visibilité et de la responsabilité aux élus. A cela s’ajouterait une nouvelle trajectoire de 10 milliards d’euros d’effort d’économie avec un risque fort de dégradation des services publics de proximité. Plutôt que d’imposer de nouveaux objectifs de réduction de la dépense locale, dispositif contreproductif, il serait intéressant de mener une large réflexion sur la performance publique.

Romain Colas a rappelé que la contractualisation ne peut s'envisager que si plusieurs conditions sont respectées : un contrat équilibré juridiquement et fondé sur des objectifs de politiques publiques définis en concertation avec les élus locaux.

D'autres sujets ont été abordés : la hausse des dépenses de personnel en 2021 qui s’explique par la poursuite des effets de la crise sanitaire (remplacement des agents, recrutement de contractuels…), y compris en ce début d’année 2022 ; l’augmentation des dépôts au Trésor qui n’est pas forcément une très bonne nouvelle pour l’APVF puisque cela témoigne bien de la frilosité des élus à investir, la hausse de la TEOM ...

21
avril
2022
4èmes Assises du logement : "Quel logement voulons-nous pour le XXIe siècle ?"

4èmes Assises du logement : "Quel logement voulons-nous pour le XXIe siècle ?"

Logement et urbanisme, Ville intelligente et durable

Le 2 juin 2022, se tiendra la 4e édition des Assises Nationales du Logement et de la mixité urbaine, dont l’APVF est partenaire, à la Cité Internationale Universitaire de Paris. Quelles sont les réponses des professionnels aux défis sociétaux, démographiques, économiques et environnementaux de notre temps ? Quelles politiques du logement et de la ville …

Le 2 juin 2022, se tiendra la 4e édition des Assises Nationales du Logement et de la mixité urbaine, dont l'APVF est partenaire, à la Cité Internationale Universitaire de Paris.

Quelles sont les réponses des professionnels aux défis sociétaux, démographiques, économiques et environnementaux de notre temps ? Quelles politiques du logement et de la ville ? Quelles sont les priorités ? Comment les mettre en œuvre ?

Dans ce cadre dédié, propice aux échanges et aux rendez-vous d'affaires, les Assises Nationales du Logement et de la mixité urbaine, sont LE rendez-vous incontournable pour :

  • faire le point sur les réglementations en cours et les tendances,
  • découvrir les solutions et services innovants,
  • se nourrir du partage d'expériences,
  • rencontrer et échanger avec les décideurs, pour agir aujourd'hui et penser ce que sera demain.

Ne manquez pas le rendez-vous des professionnels qui agissent pour le logement et la mixité urbaine !

Pour bénéficier de -40%, pensez à saisir le code suivant lors de votre inscription : APVF40.

Inscription

21
avril
2022
Devenez une nouvelle structure d'accueil pour Lire et faire lire !

Devenez une nouvelle structure d'accueil pour Lire et faire lire !

Culture et patrimoine, Questions de société

Créé en 1999, Lire et faire lire est un programme national d’ouverture à la lecture et de solidarité intergénérationnelle. Dans l’objectif de partager le goût de la lecture et des livres, des bénévoles de plus de cinquante ans interviennent dans diverses structures dédiées à l’accueil collectif des enfants, auprès de petits groupes, de 0 à …

Créé en 1999, Lire et faire lire est un programme national d’ouverture à la lecture et de solidarité intergénérationnelle. Dans l’objectif de partager le goût de la lecture et des livres, des bénévoles de plus de cinquante ans interviennent dans diverses structures dédiées à l’accueil collectif des enfants, auprès de petits groupes, de 0 à 12 ans. Sur des temps scolaires, péri ou extra-scolaires, les bénévoles formés interviennent une fois par semaine, dans plus de 7 000 structures différentes, pour des moments de lecture-loisir.

Lire et faire lire est aujourd’hui à la recherche de nouvelles structures pour accueillir ces séances de lecture. Celles-ci sont préparées en concertation avec l’équipe éducative dans le cadre du projet de l’établissement, et sont adaptées aux âges des enfants bénéficiaires (temps de lecture, ouvrages présentés…).

Qui peut être structure d’accueil ?

Les structures auxquelles s’associe Lire et faire lire sont variées. Ce programme se développe tant dans des écoles maternelles et élémentaires, collèges, lycées, que dans des structures éducatives et culturelles, accueillant des enfants de tout âge (comme des bibliothèques, ludothèques, musées, centres de loisirs, associations de quartier, librairies ou centres sociaux), dans des structures spécialisées par âge (crèches, micro-crèches, relais d’assistantes maternelles, jardins d’enfants, halte-garderie), dans des structures médicales, des centres d’hébergement de réfugiés, et dans des établissements de protection de l’enfance (foyers, villages d’enfants, pouponnières à caractère social). Les bénévoles de Lire et faire lire peuvent également intervenir dans des dispositifs prenant en compte les spécificités et particularités des élèves (comme des SEGPA, classes Ulis, unités UPE2A, CLAS…).

Comment rejoindre le programme de Lire et faire lire ?

Porté par les deux réseaux associatifs, la Ligue de l’enseignement et l’Union Nationale des Affaires Familiales, Lire et faire lire est mis en œuvre sur l’ensemble du territoire et animé par des coordinations départementales de ces deux associations. Chacune d’entre elles accompagne les bénévoles et assure le lien avec les structures éducatives.

Pour retrouver les contacts des coordinateurs·trices par département, cliquez ici  et pour plus d’informations cliquez ici

Télécharger la charte entre Lire et faire lire et l'Association des Bibliothécaires de France (ABF)

 

21
avril
2022
"Capitale française de la culture" : candidatures ouvertes jusqu'au 14 mai

"Capitale française de la culture" : candidatures ouvertes jusqu'au 14 mai

Culture et patrimoine

Les communes ou groupements de communes disposent encore de plusieurs semaines pour candidater à la 2ème édition du label “Capitale française de la culture”.   Pour rappel, ce label a été attribué pour la première fois à la Ville de Villeurbanne pour l’année 2022. Les collectivités ont donc jusqu’au 14 mai pour envoyer leur candidature. Les …

Les communes ou groupements de communes disposent encore de plusieurs semaines pour candidater à la 2ème édition du label "Capitale française de la culture".  

Pour rappel, ce label a été attribué pour la première fois à la Ville de Villeurbanne pour l'année 2022. Les collectivités ont donc jusqu'au 14 mai pour envoyer leur candidature. Les présélections s'effectueront en juin 2022 et le dossier complémentaire pour les présélectionnés sera à rendre pour le 21 octobre 2022.

L'annonce de la capitale lauréate pour l'année 2024 se fera en décembre 2022.

Pour déposer un dossier sur la plateforme dédiée cliquez ici 

Pour toute question une adresse contact a été mise en place : contact@capitale-culture.fr