ESPACE MEMBRE
Enquête Flash de l'APVF : après le vote du budget de votre commune, quelle situation financière ?
Une première enquête sur la situation financière des petites villes a été réalisée en février 2022. Depuis, vous avez voté le budget de votre commune et dû faire face notamment à l’explosion du prix de l’énergie. Cette enquête Flash pour faire le point et enrichir la prochaine commission des finances de l’APVF. Délai de réponse …
Une première enquête sur la situation financière des petites villes a été réalisée en février 2022. Depuis, vous avez voté le budget de votre commune et dû faire face notamment à l'explosion du prix de l'énergie. Cette enquête Flash pour faire le point et enrichir la prochaine commission des finances de l'APVF.
Délai de réponse : le 30 avril !
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Le Sénat présente 20 mesures pour renforcer la cohésion numérique des territoires
Les sénateurs Jean-François Longeot (Union centriste) et Patricia Demas (Les Républicains) ont publié un rapport d’information pour renforcer la cohésion numérique des territoires. Les parlementaires formulent 20 recommandations selon 3 axes. Tout d’abord, les sénateurs invitent à renforcer le pilotage de la politique d’inclusion numérique. Ainsi, ils appellent à améliorer la clarté et la lisibilité …
Les sénateurs Jean-François Longeot (Union centriste) et Patricia Demas (Les Républicains) ont publié un rapport d'information pour renforcer la cohésion numérique des territoires. Les parlementaires formulent 20 recommandations selon 3 axes.
Tout d'abord, les sénateurs invitent à renforcer le pilotage de la politique d'inclusion numérique. Ainsi, ils appellent à améliorer la clarté et la lisibilité de cette politique.
Les sénateurs proposent ensuite de clarifier l'écosystème local de l'inclusion numérique. Cela passe par une meilleure coordination des intervention territoriales et la prise en compte de l'inclusion numérique dans les outils de planification. Enfin, les hubs territoriaux devraient être renforcés.
Les sénateurs rappellent enfin que l'inclusion numérique passe par une couverture internet de l'ensemble du territoire. Elle passe également par un meilleur soutien aux collectivités territoriales dans leur accompagnement des publics éloignés du numérique.
3 questions à Benoît Soury, Directeur de Carrefour proximité France
Benoît Soury, Directeur de Carrefour proximité France, revient sur le partenariat récemment signé entre Carrefour et l’APVF ainsi que sur le rôle et l’implantation du groupe Carrefour dans les petites villes. Pourquoi ce partenariat avec l’Association des Petites Villes de France ? Le Groupe Carrefour dispose en France, d’un réseau très puissant de magasins de différents …
Benoît Soury, Directeur de Carrefour proximité France, revient sur le partenariat récemment signé entre Carrefour et l'APVF ainsi que sur le rôle et l'implantation du groupe Carrefour dans les petites villes.
Pourquoi ce partenariat avec l’Association des Petites Villes de France ?
Le Groupe Carrefour dispose en France, d’un réseau très puissant de magasins de différents formats. Nous exploitons plus de 5700 magasins sous nos enseignes Carrefour Hypermarché, Carrefour Market, Carrefour City, Carrefour Express, Carrefour Contact, Huit à Huit, Proxi, Supeco, Sobio, Bio C’Bon, Promocash présents sur notre territoire, au plus proche de nos consommateurs.
Le partenariat engagé avec l’APFV est le signe fort de notre attachement à la construction de relations positives, engagées et durables avec les élus dans les territoires. Les communes adhérentes à l’APVF représentent une diversité de tailles, de localisations, de projets propres, ayant de fortes ressemblances avec nos propres diversités ; nous souhaitons, par la signature de ce partenariat, participer aux travaux individuels et collectifs entrepris par l’APVF.
Le monde économique, dans lequel s’inscrit Carrefour avec nos 100 000 collaborateurs et la sphère politique issue du suffrage de nos concitoyens ont pleinement intérêt à mieux se connaître, pour mieux se comprendre et mieux collaborer aux profits des concitoyens qui sont également nos consommateurs.
Que signifie pour vous la notion de proximité dans le commerce de distribution ?
Le Groupe Carrefour est le premier opérateur du commerce de proximité alimentaire en France, avec une part de marché de 42%. Nous disposons d’un parc très large de magasins de centre-ville, d’une surface de 100 à 1200 m2, exploités en intégralité par des Partenaires, franchisés ou locataires gérants.
Ces partenaires sont très souvent issus des communes ou régions dans lesquelles ils entreprennent et investissent à nos côtés. Ainsi, via le développement de leurs activités, en créant ou reprenant des points de vente, ils contribuent à la vitalité de nos communes et s'inscrivent dans le temps long des territoires.
En 2021, plus de 260 nouveaux magasins et autant de partenaires sont venus renforcer le commerce de centre-ville et l’attractivité de nos communes. Depuis 2018, plus de 1000 nouveaux commerces ont été ainsi développés en France par le Groupe Carrefour, permettant la création de près de 10 000 emplois. C’est la meilleure preuve de notre conviction et de notre confiance dans l’avenir de la proximité, aux côtés des élus membres de l’APVF.
Comment le groupe s’adapte à l’évolution des modes de consommation de nos concitoyens, accentuée par la crise sanitaire ?
La crise sanitaire vécue depuis plus de deux années a profondément modifié les comportements d’achat des consommateurs français. Désormais les achats en ligne, la livraison à domicile, le local, le Bio, le télétravail, les résidences secondaires, la seconde vie des produits, sont des paramètres nouveaux auxquels la distribution alimentaire doit s’adapter.
Ces extraordinaires mutations prennent place dans une atmosphère d’incertitudes sur le pouvoir d’achat de nos concitoyens, sur le climat de guerre aux portes de l’Europe, sur la hausse des coûts de l’énergie, sur la hausse brutale de l’inflation, sur l’urgence des décisions à prendre face aux dérèglements écologiques.
Notre responsabilité est de nous adapter sans délai, avec détermination et courage à ces crises successives qui fondent désormais notre quotidien et de rechercher de nouvelles opportunités en adaptant notre modèle d’entreprise à ses contraintes nouvelles. Plus que jamais, notre Groupe et nos équipes sont engagés pour servir nos clients et apporter des solutions aux élus des territoires.
Carte des résultats du 1er tour de l'élection présidentielle
L’AFP a mis en ligne une carte interactive gratuite des résultats du premier tour. Vous pourrez y retrouver l’ensemble des résultats à l’élection présidentielle. L’AFP a mis en ligne une carte de synthèse avec l’ensemble des résultats au niveau des communes, des départements et des régions. Pour rappel, au niveau national, les résultats sont les …
L'AFP a mis en ligne une carte interactive gratuite des résultats du premier tour. Vous pourrez y retrouver l'ensemble des résultats à l'élection présidentielle.
L'AFP a mis en ligne une carte de synthèse avec l'ensemble des résultats au niveau des communes, des départements et des régions.
Pour rappel, au niveau national, les résultats sont les suivants :
- Nathalie ARTHAUD : 197 094 voix, soit 0,56 % des suffrages exprimés
- Philippe POUTOU : 268 904 voix, soit 0,76 % des suffrages exprimés
- Anne HIDALGO : 616 478 voix, soit 1,74 % des suffrages exprimés
- Nicolas DUPONT AIGNAN : 725 176 voix, soit 2,06 % des suffrages exprimés
- Fabien ROUSSEL : 802 422 voix, soit 2,28 % des suffrages exprimés
- Jean LASSALLE : 1 101 387 voix, soit 3,13 % des suffrages exprimés
- Yannick JADOT : 1 627 853 voix, soit 4,63 % des suffrages exprimés
- Valérie PÉCRESSE : 1 679 001 voix, soit 4,78 % des suffrages exprimés
- Eric ZEMMOUR : 2 485 226 voix, soit 7,07 % des suffrages exprimés
- Jean-Luc MÉLENCHON : 7 712 520 voix, soit 21,95 % des suffrages exprimés
- Marine LE PEN : 8 133 828 voix, soit 23,15 % des suffrages exprimés
- Emmanuel MACRON : 9 783 058 voix, soit 27,85 % des suffrages exprimés.
Lien vers la carte de l'AFP
Télécharger le Manifeste des petites villes de France pour l'élection présidentielle
Place des petites villes dans la future gouvernance du Cerema : L’APVF alerte le ministre
L’APVF a écrit cette semaine au Ministre de la Cohésion des Territoires, Joël Giraud, pour lui faire part des inquiétudes des petites villes sur la nouvelle gouvernance du Cerema. La loi 3DS adoptée récemment prévoit en effet la réforme du Cerema et la refonte de sa gouvernance. L’objectif est de rapprocher le Cerema des territoires …
L’APVF a écrit cette semaine au Ministre de la Cohésion des Territoires, Joël Giraud, pour lui faire part des inquiétudes des petites villes sur la nouvelle gouvernance du Cerema.
La loi 3DS adoptée récemment prévoit en effet la réforme du Cerema et la refonte de sa gouvernance. L’objectif est de rapprocher le Cerema des territoires en facilitant son accès mais également un accordant une plus grande place aux collectivités dans sa gouvernance.
L’APVF se réjouit de ces évolutions qu’elle avait demandées. Néanmoins, les petites villes restent inquiétes quant à la répartition de la nouvelle gouvernance qui laisse une place insuffisante aux petites communes et au rural. Or, le Cerema s’adresse en priorité à ces territoires moins dôtés en ingénierie. Ils ont besoin d’ingénierie pour concrétiser leur projet et mettre en œuvre la transition écologique et la revitaliser leur commune.
Il est essentiel que la voix des petites villes soit davantage entendue dans la future gouvernance du Cerema.
Pour retrouver le courrier, cliquez ici.
Sobriété numérique : l'ADEME lance un programme
Les services numériques ont un impact considérable sur la consommation d’énergie en France : ils représentent 10,5% de la consommation d’énergie en France. L’ADEME – l’agence de la transition écologique – lance par conséquent un programme pour encourager à la sobriété numérique. 10,5% de la consommation d’énergie en France. 2,5% de son empreinte carbone. Voilà …
Les services numériques ont un impact considérable sur la consommation d'énergie en France : ils représentent 10,5% de la consommation d'énergie en France. L'ADEME - l'agence de la transition écologique - lance par conséquent un programme pour encourager à la sobriété numérique.
10,5% de la consommation d'énergie en France. 2,5% de son empreinte carbone. Voilà le bilan écologique peu glorieux du numérique en France. Pour y faire face, l'agence de la transition écologique lance le programme So.Num pour "sobriété numérique".
Le programme vise :
- d’une part, d’aborder le sujet de la sobriété numérique, au travers d’actions de formation et de sensibilisation,
- d’autre part, d’agir concrètement à l’aide d’outils permettant de limiter l’impact environnemental des usages et
notamment les consommations énergétiques induites par les services numériques.
Il se divise en 3 axes principaux :
- Accélérer la sensibilisation et la formation à la sobriété ;
- Construire un cadre de méthodologie pour mesurer et piloter la sobriété numérique ;
- Soutien aux actions de mise en œuvre de la sobriété numérique, notamment au niveau des collectivités locales. Il s'agira par exemple de développer des outils pour intégrer la sobriété numérique dans les stratégies des collectivités et des organisations, notamment par la
création d’un label d’écoconception numérique.
Des appels à manifestation d’intérêt seront très rapidement mis en œuvre pour recruter les partenaires du programme
Publication du rapport de l'IGAS et de l'IGA sur la gestion des EHPAD du groupe Orpea
Ce rapport, tiré d’une mission confiée le 1er février à l’IGAS et l’IGA par le gouvernement, a été rendu public et met en exergue les dysfonctionnements dans la gestion des EHPAD du groupe Orpea. Parmi les principaux enseignements à retenir, “le pilotage des établissements donne la priorité à la performance financière” au détriment des résidents …
Ce rapport, tiré d'une mission confiée le 1er février à l'IGAS et l'IGA par le gouvernement, a été rendu public et met en exergue les dysfonctionnements dans la gestion des EHPAD du groupe Orpea.
Parmi les principaux enseignements à retenir, "le pilotage des établissements donne la priorité à la performance financière" au détriment des résidents selon les auteurs. A noter en outre, le caractère "insincère" des documents financiers remis aux autorités de tutelles. Il est également mis en avant une gestion des personnels plus "dégradée" que la moyenne du secteur des Ehpad.
Illustration des dérives existantes, le rapport révèle un système de primes semestrielles pouvant s'élever "jusqu'à 6000 euros par an" et de bonus annuel des directeurs d'Ehpad du groupe accordant "un poids dominant aux indicateurs financiers" le tout dans un contexte de "dépassement récurrent de la capacité d'accueil autorisée, pratique identifiée dans 11% des Ehpad du groupe en 2019".
Pour lire la synthèse du rapport
Transition écologique : la campagne chèques énergie 2022 est lancée !
La campagne chèques énergie 2022 est ouverte du 30 mars au 30 avril. Le chèque énergie doit permettre aux revenus modestes de bénéficier d’une aide pour payer les factures d’énergie de leur logement ou leurs travaux de rénovation énergétique. Il bénéficie à presque 6 millions de ménages chaque année en fonction de leurs conditions de …
La campagne chèques énergie 2022 est ouverte du 30 mars au 30 avril.
Le chèque énergie doit permettre aux revenus modestes de bénéficier d’une aide pour payer les factures d’énergie de leur logement ou leurs travaux de rénovation énergétique. Il bénéficie à presque 6 millions de ménages chaque année en fonction de leurs conditions de ressource. Les particuliers le recevront à leur domicile entre le 30 mars et le 30 avril.
Pour plus d’informations sur les aides, cliquez ici.
Plan #1jeune1solution en faveur de l’emploi des jeunes : un dispositif légitime, un succès à relativiser
« Le chômage des jeunes de 15 à 24 ans est en France au moins deux fois plus élevé que celui de l’ensemble de la population. » La faiblesse des dispositifs en faveur de l’emploi des jeunes avait été pointée du doigt par la Cour des comptes en 2016. Dans son rapport public annuel 2022, la Cour …
« Le chômage des jeunes de 15 à 24 ans est en France au moins deux fois plus élevé que celui de l’ensemble de la population. » La faiblesse des dispositifs en faveur de l’emploi des jeunes avait été pointée du doigt par la Cour des comptes en 2016. Dans son rapport public annuel 2022, la Cour évalue le plan « #1jeune1solution » annoncé par le Gouvernement en juillet 2020.
La Cour a examiné les conditions de déploiement, les premiers résultats et le coût de ce plan, dont le montant total pourrait avoisiner 10 Md€. Pour elle, la crise sanitaire a justifié une telle intervention des pouvoirs publics, mais « celle-ci a été parfois mal proportionnée » et malgré une « forte mobilisation » pour la mise en œuvre du plan, « son succès est à relativiser ».
Le lancement du plan « #1jeune1solution », initialement doté pour 2020 et 2021 de 6,5 Md€, dont 5,3Md€ de mesures gérées par le ministère chargé du travail, a été annoncé le 23 juillet 2020.
- Les objectifs du plan rappelés par la Cour :
Le plan devait augmenter le nombre d’entrées en formation de jeunes de moins de 30 ans, en les faisant passer de 345 000 en 2020 à 415 000 en 2021, puis 375 000 en 2022.
Dans le domaine de l’accompagnement, il a été prévu 80 000 entrées supplémentaires en Pacea en 2021, soit 420 000 au lieu de 340 000. A été annoncée, en outre, une hausse de 50 % du nombre de places en Garantie jeunes pour atteindre 150 000 entrées en 2021, objectif par la suite porté à 200 000. Des places supplémentaires (+ 70 000 places en 2020 et + 140 000 places en 2021) ont aussi été ouvertes dans le dispositif d’accompagnement intensif jeunes (AIJ) instauré par Pôle emploi et qui avait bénéficié à 100 000 jeunes en 2019. S’y ajoutent l’expérimentation d’un parcours d’accompagnement destiné à 35 000 « décrocheurs », qui doit être mis en œuvre par l’Afpa (objectif ramené ensuite à 30000), ainsi qu’une nouvelle prestation, offerte par l’Apec, d’accompagnement renforcé des jeunes diplômés en recherche d’emploi.
Des objectifs ont également été fixés pour la signature de nouveaux contrats aidés. Dans le secteur non-marchand, l’objectif de 20 000 jeunes en parcours emploi compétences (PEC) a été fixé pour 2020 et il est de 80 000 pour 2021, alors que ces contrats n'étaient plus ciblés prioritairement sur les jeunes. Dans le secteur marchand, 10 000 jeunes peuvent bénéficier de contrats initiative emploi (CIE) en 2020 et 50 000 en 2021, alors que ces contrats avaient disparu (sauf en outre-mer).
L’aide allouée pour l’embauche en CDI ou en CDD pour au moins six mois d’un résident d’un quartier prioritaire de la politique de la ville (QPV), dite « emploi franc », a été majorée pour le recrutement d’un jeune de moins de 26 ans, entre le 15 octobre 2020 et le 31 mai 2021155.
Le plan « #1jeune1solution » comporte aussi l’introduction de nouvelles mesures favorisant l’accès à une expérience professionnelle, avec deux aides exceptionnelles à l’embauche : l’une pour les jeunes, quel que soit leur profil, d’un montant de 4000 €, l’autre pour le recrutement d’alternants, d’un montant de 5000 € ou 8000 € selon l’âge des bénéficiaires. Cette aide, « plus avantageuse », remplace pendant la crise l’aide unique à l’apprentissage versée aux employeurs d’apprentis.
Enfin, les jeunes bénéficient des dispositifs de droit commun, et en particulier de l’activité partielle, ainsi que de mesures spécifiques, notamment l’augmentation des places en service civique, dont le nombre est passé de 145 000 à 245 000, auxquels s’ajoute l’objectif de 26 500 places supplémentaires pour permettre la poursuite d’études.
- L’insuffisante prise en compte des besoins et des capacités des territoires
Les objectifs en volume de contrats aidés et d’entrées en Garantie jeunes ont été déclinés à l’échelon départemental, voire au niveau du bassin d’emploi (contrats aidés) ou à celui de chaque mission locale (Garantie jeunes). Or, selon la Cour des comptes, « ces objectifs de volumes à atteindre localement n’ont qu’à la marge tenu compte des disparités territoriales ».
En pratique, les valeurs cibles pour la Garantie jeunes fixées ont été presque systématiquement doublées, alors que la demande d’emploi locale des jeunes était très différente d’une région à l’autre, notamment en raison de la spécialisation sectorielle de chacune d’entre elles et de l’impact variable de la crise selon les secteurs. Par exemple, alors que la demande d’emploi en Île-de-France avait augmenté de 17 % de septembre 2019 à septembre 2020, contre 3 % en Normandie, une cible identique a été fixée à ces deux régions.
De même, fin juillet 2020, la Cour souligne que l’objectif de 100 000 formations supplémentaires a donné lieu à une répartition entre régions, sans distinction entre les bassins d’emploi les plus touchés par la crise et ceux qui l’étaient le moins.
- Malgré une forte mobilisation pour la mise en œuvre du plan, un succès à relativiser
Alors que les moyens mis en œuvre pour accompagner le plan ont été importants, le succès est très inégal.
Si l’inclusion d’un volet consacré à la formation pouvait paraître légitime, puisqu’il s’agit d’une composante fondamentale des politiques de l’emploi, elles ne constituent pas forcément une réponse adéquate à une dégradation conjoncturelle, car il s’agit de politiques qui demandent une mise en œuvre allant de 18 mois à deux ans.
Aussi, pour la Cour des comptes, la réactivation des contrats aidés après leur forte diminution (ils sont passés de 110 000 en 2016 à 17 500 en 2019) ne va pas de soi comme réponse à une crise conjoncturelle.
Enfin, en amplifiant l’existant, le plan n’a pas proposé de réponse à la question des « invisibles », c’est-à-dire celle des jeunes inconnus des services de l’emploi, trop éloignés des institutions pour pouvoir intégrer les dispositifs d’accompagnement usuels.
Consommation d’énergie locale : Amorce et la Banque des territoires lancent un outil pour réduire la facture des collectivités
Amorce et la Banque des Territoires viennent de lancer l’outil eSHERPA, un simulateur gratuit et indépendant pour aider les collectivités à réduire leur facture énergétique dans un contexte de hausse des prix de l’énergie Toutes les collectivités peuvent accéder à cet outil en ligne qui va être très utile pour les territoires qui subissent de …
Amorce et la Banque des Territoires viennent de lancer l’outil eSHERPA, un simulateur gratuit et indépendant pour aider les collectivités à réduire leur facture énergétique dans un contexte de hausse des prix de l’énergie
Toutes les collectivités peuvent accéder à cet outil en ligne qui va être très utile pour les territoires qui subissent de plein de fouet la hausse des prix de l’énergie.
Indépendant et gratuit, eSHERPA, développé avec le soutien technique d’Inddigo, et le soutien financier de la Banque des Territoires, permet en quelques clics :
- D’identifier les actions de maîtrise de l’énergie les plus efficientes pour favoriser le retour sur investissement, respecter leurs obligations réglementaires et limiter l’impact environnemental de leurs bâtiments ; par exemple, avec la mise en place d’un système de régulation pour le chauffage.
- D’évaluer les coûts et d’identifier les financements mobilisables (dotations et aides d’État, dispositifs CEE, prêt de la Banque des Territoires, etc.) pour engager des actions de maîtrise de l’énergie ; par exemple, l’intracting, financement innovant proposé par la Banque des Territoires.
En complément du simulateur, AMORCE met à disposition une boîte à outils en ligne qui contient une série de documents ressources, de webinaires et de bonnes pratiques utiles pour élaborer une stratégie adaptée aux spécificités de chaque collectivité
Pour accéder à l’outil, cliquez ici.