L’organisation successive des élections européennes et des élections législatives anticipées a occasionné des surcoûts pour les communes notamment dans les petites villes. Dès le mois de juillet, l’APVF a interpellé l’Etat pour obtenir un remboursement rapide et complet. Sans réponse à ce jour…
En effet, dès le 10 juillet, Christophe Bouillon, Président de l’Association des Petites villes de France, a adressé un courrier au ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin pour l’alerter sur le coût important pour les communes de l’organisation des deux tours des élections législatives, suite à la dissolution de l’Assemblée nationale.
Pour autant, un certain nombre de petites villes font état d’un remboursement très incomplet des frais engagés pour l’organisation des scrutins. Ainsi, Camille Pouponneau, maire de Pibrac (Haute-Garonne), souligne ainsi, dans un courrier envoyé au Président de la République, n’avoir été remboursée que de 1 000 euros pour 18 000 euros de dépenses.
Le Président de l’APVF, Christophe Bouillon, maire de Barentin (Seine-et-Marne) a réitéré publiquement les demandes de l’APVF (voir section presse).
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