Suite aux annonces de la ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, Amélie de Montchalin, Jean Castex a confirmé la nomination de « sous-préfets à la relance » par une circulaire publiée le 10 septembre et adressée aux préfets. Ils auront pour mission la « mise en œuvre territoriale » du plan de relance.
Des missions prioritaires labélisées « sous-préfets à la relance » recentrées sur les besoins de l’État au niveau territorial
Chaque ministère doit transmettre au Premier ministre prochainement, d’ici fin septembre, une liste de postes correspondant à des besoins dits « prioritaires » de l’État, s’inscrivant dans la relance, au niveau territorial. Ces postes de sous-préfets auront vocation à recouvrir des missions à forts enjeux et des projets complexes, en lien avec les chantiers de transformation lancés par le Gouvernement, les conséquences de la crise sanitaire et la relance de notre économie. Ils seront affectés pour une durée d’un à deux ans dans les territoires à enjeux pour la mise en œuvre, au niveau régional et départemental, du plan de relance.
Peuvent candidater tous les cadres supérieurs de l’État : il s’agit des élèves sortis de l’Ecole nationale d’administration, mais également aux administrateurs civils et aux membres des autres corps auxquels destine l’Ecole nationale d’administration (de « ENA+2 » à « ENA+6 »), ainsi qu’aux fonctionnaires de catégorie A appartenant à un corps ou cadre d’emplois de niveau comparable.
Téléchargez la circulaire du 10 septembre en cliquant ici.