Concernant la répartition des financements, elle s’organise de la façon suivante : l’Etat sera contributeur à hauteur de 14,3 milliards d’euros de l’Etat, les régions seront contributrices pour près de 15,2 milliards et 900 millions émaneront des collectivités infrarégionales signataires. Ces contrats ont été signés en prenant en compte les périmètres des anciennes régions. La priorité d’investissement de ces contrats demeure le transport qui mobilisera 15 milliards d’euros.
D’autre part, 5,6 milliards d’euros seront consacrés à la transition écologique et au développement durable (prévention des risques naturels, développement des énergies renouvelables, protection de la biodiversité…) et enfin 3,5 milliards seront orientés vers l’enseignement supérieur, la recherche, l’innovation, la réhabilitation de l’immobilier universitaire et le développement du logement étudiant.
Le « volet territorial », autrement dit, le volet qui profite le plus aux collectivités infrarégionales et par effet de ricochet aux petites villes, bénéficiera de 4,6 milliards d’euros, dont environ 600 millions d’euros du Fonds national d’aménagement et de développement du territoire (FNADT).